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Il est normal « d’oublier » parfois des noms propres.

OU

Avec l’âge, se concentrer est moins facile.

OU

Dire un mot à la place d’un autre est forcément anormal.

OU

Avoir des pertes de mémoire est forcément le signe d’une maladie grave.

OU

La mémoire peut se développer et une personne âgée est capable de faire de nouveaux apprentissages.

OU

Le corps et le cerveau vieillissent en même temps.

OU

Dans ma famille, il n’y a pas de maladie liée au cerveau. Donc je ne risque rien.

OU

L’isolement affectif et social est mauvais pour la mémoire.

OU

Il y a un lien entre les troubles sensoriels et la mémoire.

OU

En vieillissant, on doit prendre soin de sa mémoire.

OU

J’ai l’impression d’oublier beaucoup de choses. Cela doit être l’âge, ce n’est pas la peine de consulter.

OU

Planifier des voyages et des repas en famille stimule la mémoire.

OU

Certains aliments favorisent le bon fonctionnement du cerveau, notamment la mémoire.

OU

Il n’y a aucun rapport entre l’exercice physique et le bon fonctionnement du cerveau.

OU

Les mots fléchés entretiennent l’esprit.

OU

Avoir des projets est bon pour la mémoire.

OU

Les souvenirs n’ont pas de lien avec nos émotions.

OU

Bravo, vous avez raison !

Le vieillissement s’accompagne de différents changements dans notre cerveau. La mémoire peut donner l’impression d’être moins performante avec l’âge et il arrive qu’il soit difficile de retrouver le nom d’un acteur, d’un chanteur ou d’une personne que l’on a déjà rencontrée. Pourtant, des noms ne sont pas vraiment « oubliés » mais juste « indisponibles » au moment où on a besoin de les évoquer ; parfois même on les a « sur le bout de la langue ». Il ne s’agit en général pas d’oubli mais de difficulté pour y accéder, pour les retrouver. Ce phénomène fait partie des caractéristiques du vieillissement normal au cours duquel les stratégies de recherche mises en place par le cerveau sont moins efficaces qu’auparavant.

Et non, c’est vrai !

Le vieillissement s’accompagne de différents changements dans notre cerveau. La mémoire peut donner l’impression d’être moins performante avec l’âge et il arrive qu’il soit difficile de retrouver le nom d’un acteur, d’un chanteur ou d’une personne que l’on a déjà rencontrée. Pourtant, des noms ne sont pas vraiment « oubliés » mais juste « indisponibles » au moment où on a besoin de les évoquer ; parfois même on les a « sur le bout de la langue ». Il ne s’agit en général pas d’oubli mais de difficulté pour y accéder, pour les retrouver. Ce phénomène fait partie des caractéristiques du vieillissement normal au cours duquel les stratégies de recherche mises en place par le cerveau sont moins efficaces qu’auparavant.

Bravo, vous avez raison !

Les études réalisées le montrent : plus on vieillit, moins il est facile d’être attentif, de se concentrer et de le rester ; on a tendance à se laisser distraire plus facilement. Avec l’âge, il faut donc beaucoup plus d’efforts pour parvenir au même niveau d’attention et de concentration que lorsque l’on est plus jeune. Cela a évidemment un impact sur nos capacités à enregistrer et à retenir de nouvelles informations et sur la qualité des souvenirs. Mais nous ne sommes pas tous égaux à ce sujet, et ce n’est pas qu’une question d’âge. Certains peuvent être distraits de nature quand d’autres le seront à des périodes particulières de leur vie (par exemple au cours de moments difficiles).

Et non, c’est vrai !

Les études réalisées le montrent : plus on vieillit, moins il est facile d’être attentif, de se concentrer et de le rester ; on a tendance à se laisser distraire plus facilement. Avec l’âge, il faut donc beaucoup plus d’efforts pour parvenir au même niveau d’attention et de concentration que lorsque l’on est plus jeune. Cela a évidemment un impact sur nos capacités à enregistrer et à retenir de nouvelles informations et sur la qualité des souvenirs. Mais nous ne sommes pas tous égaux à ce sujet, et ce n’est pas qu’une question d’âge. Certains peuvent être distraits de nature quand d’autres le seront à des périodes particulières de leur vie (par exemple au cours de moments difficiles).

Bravo, vous avez raison !

C’est bien dans notre cerveau que sont stockés tous les mots de notre vocabulaire ainsi que les règles de grammaire et de syntaxe qui nous permettent de nous exprimer. Avec l’âge, nous avons acquis un vocabulaire étendu. Si nous ne rencontrons le plus souvent aucune difficulté à sélectionner les bons mots pour nous exprimer, il peut nous arriver de faire des erreurs de sélection dans ce large stock. C’est ce que nous appelons des lapsus et ils sont plus fréquents avec l’âge ; il s’agit d’une défaillance ponctuelle de stratégies mises en place par le cerveau pour aller chercher un mot précis dans notre vocabulaire. Et ce n’est pas toujours une question d’âge.

Et non, c’est faux !

C’est bien dans notre cerveau que sont stockés tous les mots de notre vocabulaire ainsi que les règles de grammaire et de syntaxe qui nous permettent de nous exprimer. Avec l’âge, nous avons acquis un vocabulaire étendu. Si nous ne rencontrons le plus souvent aucune difficulté à sélectionner les bons mots pour nous exprimer, il peut nous arriver de faire des erreurs de sélection dans ce large stock. C’est ce que nous appelons des lapsus et ils sont plus fréquents avec l’âge ; il s’agit d’une défaillance ponctuelle de stratégies mises en place par le cerveau pour aller chercher un mot précis dans notre vocabulaire. Et ce n’est pas toujours une question d’âge.

Bravo, vous avez raison !

À partir d’un moment dans la vie, avoir des oublis nous fait craindre d’avoir une maladie grave comme la maladie d’Alzheimer ou d’autres maladies de ce type. C’est même, pour certains, devenu une remarque dans le langage courant « ça doit être Alzheimer ! ». Pourtant, les oublis au quotidien peuvent avoir de nombreuses causes : problèmes d’attention, fatigue, manque de sommeil, soucis importants ou dépression, ou encore conséquence de certains médicaments. Dans ces cas là, ils sont tout à fait réversibles.

Et non, c’est faux !

À partir d’un moment dans la vie, avoir des oublis nous fait craindre d’avoir une maladie grave comme la maladie d’Alzheimer ou d’autres maladies de ce type. C’est même, pour certains, devenu une remarque dans le langage courant « ça doit être Alzheimer ! ». Pourtant, les oublis au quotidien peuvent avoir de nombreuses causes : problèmes d’attention, fatigue, manque de sommeil, soucis importants ou dépression, ou encore conséquence de certains médicaments. Dans ces cas là, ils sont tout à fait réversibles.

Bravo, vous avez raison !

Pendant longtemps, on pensait que le vieillissement du cerveau entraînait des changements irréversibles avec notamment la perte de nombreux neurones au fil du temps et de leurs connexions entre eux. Aujourd’hui, on sait que rien n’est figé dans le cerveau, puisqu’il a de nombreux mécanismes de compensation. Le cerveau est capable de recréer des connexions en fonction de l’environnement et des expériences vécues. Cela s’appelle la plasticité cérébrale. Elle est maintenue toute la vie et s’entretient, pour peu qu’elle soit stimulée.

Et non, c’est vrai !

Pendant longtemps, on pensait que le vieillissement du cerveau entraînait des changements irréversibles avec notamment la perte de nombreux neurones au fil du temps et de leurs connexions entre eux. Aujourd’hui, on sait que rien n’est figé dans le cerveau, puisqu’il a de nombreux mécanismes de compensation. Le cerveau est capable de recréer des connexions en fonction de l’environnement et des expériences vécues. Cela s’appelle la plasticité cérébrale. Elle est maintenue toute la vie et s’entretient, pour peu qu’elle soit stimulée.

Bravo, vous avez raison !

Lorsque l’on parle du vieillissement d’un individu, il s’agit à la fois d’un changement concernant ses capacités physiques et de certaines fonctions de son corps, dont fait partie la fonction cérébrale. Il existe, avec le vieillissement, une réduction normale de la masse cérébrale, avec une légère perte de neurones à partir d’environ 50 ans. Mais les spécialistes ont montré qu’en parallèle de cette diminution, les neurones sains peuvent améliorer leurs connexions entre eux et se réorganiser pour garder un bon niveau de fonctionnement.

Et non, c’est vrai !

Lorsque l’on parle du vieillissement d’un individu, il s’agit à la fois d’un changement concernant ses capacités physiques et de certaines fonctions de son corps, dont fait partie la fonction cérébrale. Il existe, avec le vieillissement, une réduction normale de la masse cérébrale, avec une légère perte de neurones à partir d’environ 50 ans. Mais les spécialistes ont montré qu’en parallèle de cette diminution, les neurones sains peuvent améliorer leurs connexions entre eux et se réorganiser pour garder un bon niveau de fonctionnement.

Bravo, vous avez raison !

Même si aucun problème cognitif n’a touché les membres de sa famille, parents, frère ou sœur, nous ne sommes pas totalement à l’abri de problèmes en vieillissant. Tout ne dépend pas que de l’hérédité.

Et non, c’est faux !

Même si aucun problème cognitif n’a touché les membres de sa famille, parents, frère ou sœur, nous ne sommes pas totalement à l’abri de problèmes en vieillissant. Tout ne dépend pas que de l’hérédité.

Bravo, vous avez raison !

L’isolement impacte négativement le cerveau et la mémoire. Une personne isolée est une personne qui communique moins, qui sort moins, qui mange moins bien et qui s’occupe moins d’elle et de sa santé. Elle fait moins ou peu d’activités stimulantes pour le cerveau et peut éprouver des sentiments négatifs. Avec l’avancée en âge, il est donc essentiel de maintenir une vie sociale riche, des rencontres variées et fréquentes. De nombreux moyens existent.

Et non, c’est vrai !

L’isolement impacte négativement le cerveau et la mémoire. Une personne isolée est une personne qui communique moins, qui sort moins, qui mange moins bien et qui s’occupe moins d’elle et de sa santé. Elle fait moins ou peu d’activités stimulantes pour le cerveau et peut éprouver des sentiments négatifs. Avec l’avancée en âge, il est donc essentiel de maintenir une vie sociale riche, des rencontres variées et fréquentes. De nombreux moyens existent.

Bravo, vous avez raison !

Les informations qui nous parviennent et que nous mémorisons sont captées par nos organes sensoriels. La mémoire est directement liée aux cinq sens (vue, ouïe, odorat, goût et toucher) et elle permet à la personne de retenir des sons, des images (visages, lieux...), des odeurs. La mémoire enregistré les informations fournies par nos sens en moins d’une seconde. Chez les personnes qui ont des troubles visuels ou auditifs (pour lesquels il ne faut pas négliger d’aller consulter), un certain nombre d’informations ne peuvent être stockées puisqu’elles ne sont pas correctement captées ni transmises au cerveau.

Et non, c’est vrai !

Les informations qui nous parviennent et que nous mémorisons sont captées par nos organes sensoriels. La mémoire est directement liée aux cinq sens (vue, ouïe, odorat, goût et toucher) et elle permet à la personne de retenir des sons, des images (visages, lieux...), des odeurs. La mémoire enregistré les informations fournies par nos sens en moins d’une seconde. Chez les personnes qui ont des troubles visuels ou auditifs (pour lesquels il ne faut pas négliger d’aller consulter), un certain nombre d’informations ne peuvent être stockées puisqu’elles ne sont pas correctement captées ni transmises au cerveau.

Bravo, vous avez raison !

Avec le temps, le cerveau subit des modifications qui ne l’empêchent toutefois pas de fonctionner comme il faut, à condition de continuer de le stimuler. Plus on l’utilise et plus il se renforce ! Il est bon d’apprendre des choses dans des domaines variés et de se confronter à la nouveauté tout au long de sa vie. En vieillissant, le principal changement concerne la vitesse avec laquelle le cerveau traite les informations et les assimile : ces processus sont progressivement et légèrement ralentis.

Et non, c’est vrai !

Avec le temps, le cerveau subit des modifications qui ne l’empêchent toutefois pas de fonctionner comme il faut, à condition de continuer de le stimuler. Plus on l’utilise et plus il se renforce ! Il est bon d’apprendre des choses dans des domaines variés et de se confronter à la nouveauté tout au long de sa vie. En vieillissant, le principal changement concerne la vitesse avec laquelle le cerveau traite les informations et les assimile : ces processus sont progressivement et légèrement ralentis.

Bravo, vous avez raison !

Si nous constatons un ou plusieurs changements et que cela nous inquiète, il est important d’aller consulter un spécialiste. En effet, il n’y a peut-être pas matière à s’inquiéter et pouvoir être rassuré nous libère de l’anxiété qui est nocive pour les fonctions cognitives. Cependant, il n’est pas bon de « faire l’autruche », car le risque est de passer à côté d’un réel problème dont la cause pourrait être traitée. Il peut aussi arriver que ce soit notre entourage qui s’aperçoive de certains oublis : restons attentifs à ses remarques, sans les minimiser ni les dramatiser. Une personne qui vieillit et qui s’inquiète pour sa mémoire aura intérêt à en parler sans attendre à son médecin traitant ; il pourra faire une première évaluation et l’adresser à un spécialiste pour un examen plus approfondi s’il le juge nécessaire.

Et non, c’est faux !

Si nous constatons un ou plusieurs changements et que cela nous inquiète, il est important d’aller consulter un spécialiste. En effet, il n’y a peut-être pas matière à s’inquiéter et pouvoir être rassuré nous libère de l’anxiété qui est nocive pour les fonctions cognitives. Cependant, il n’est pas bon de « faire l’autruche », car le risque est de passer à côté d’un réel problème dont la cause pourrait être traitée. Il peut aussi arriver que ce soit notre entourage qui s’aperçoive de certains oublis : restons attentifs à ses remarques, sans les minimiser ni les dramatiser. Une personne qui vieillit et qui s’inquiète pour sa mémoire aura intérêt à en parler sans attendre à son médecin traitant ; il pourra faire une première évaluation et l’adresser à un spécialiste pour un examen plus approfondi s’il le juge nécessaire.

Bravo, vous avez raison !

Si nous constatons un ou plusieurs changements et que cela nous inquiète, il est important d’aller consulter un spécialiste. En effet, il n’y a peut-être pas matière à s’inquiéter et pouvoir être rassuré nous libère de l’anxiété qui est nocive pour les fonctions cognitives. Cependant, il n’est pas bon de « faire l’autruche », car le risque est de passer à côté d’un réel problème dont la cause pourrait être traitée. Il peut aussi arriver que ce soit notre entourage qui s’aperçoive de certains oublis : restons attentifs à ses remarques, sans les minimiser ni les dramatiser. Une personne qui vieillit et qui s’inquiète pour sa mémoire aura intérêt à en parler sans attendre à son médecin traitant ; il pourra faire une première évaluation et l’adresser à un spécialiste pour un examen plus approfondi s’il le juge nécessaire.

Et non, c’est vrai !

Si nous constatons un ou plusieurs changements et que cela nous inquiète, il est important d’aller consulter un spécialiste. En effet, il n’y a peut-être pas matière à s’inquiéter et pouvoir être rassuré nous libère de l’anxiété qui est nocive pour les fonctions cognitives. Cependant, il n’est pas bon de « faire l’autruche », car le risque est de passer à côté d’un réel problème dont la cause pourrait être traitée. Il peut aussi arriver que ce soit notre entourage qui s’aperçoive de certains oublis : restons attentifs à ses remarques, sans les minimiser ni les dramatiser. Une personne qui vieillit et qui s’inquiète pour sa mémoire aura intérêt à en parler sans attendre à son médecin traitant ; il pourra faire une première évaluation et l’adresser à un spécialiste pour un examen plus approfondi s’il le juge nécessaire.

Bravo, vous avez raison !

Une alimentation variée et saine assure un bon apport nutritif au cerveau. La mémoire peut être perturbée par des carences en vitamine. Il est primordial de conserver une alimentation équilibrée et variée, en privilégiant les poissons, les fruits, les légumes, les céréales à grains entiers, etc.

Et non, c’est vrai !

Une alimentation variée et saine assure un bon apport nutritif au cerveau. La mémoire peut être perturbée par des carences en vitamine. Il est primordial de conserver une alimentation équilibrée et variée, en privilégiant les poissons, les fruits, les légumes, les céréales à grains entiers, etc.

Bravo, vous avez raison !

Être actif physiquement nous garde en meilleure santé générale, diminue le stress et augmente l’apport sanguin au niveau du cerveau. Ainsi, l’exercice physique améliore nos capacités cognitives. C’est un domaine dans lequel les études scientifiques sont formelles.

Et non, c’est faux !

Être actif physiquement nous garde en meilleure santé générale, diminue le stress et augmente l’apport sanguin au niveau du cerveau. Ainsi, l’exercice physique améliore nos capacités cognitives. C’est un domaine dans lequel les études scientifiques sont formelles.

Bravo, vous avez raison !

La stimulation intellectuelle, en pratiquant des jeux de réflexion ou de stratégie, a des effets positifs sur notre cerveau et donc sur la mémoire. D’après certains spécialistes, exercer l’esprit permet de construire ce que l’on appelle une « réserve cognitive » qui peut protéger le cerveau de certaines maladies, notamment des maladies qui touchent la mémoire.

Et non, c’est vrai !

La stimulation intellectuelle, en pratiquant des jeux de réflexion ou de stratégie, a des effets positifs sur notre cerveau et donc sur la mémoire. D’après certains spécialistes, exercer l’esprit permet de construire ce que l’on appelle une « réserve cognitive » qui peut protéger le cerveau de certaines maladies, notamment des maladies qui touchent la mémoire.

Bravo, vous avez raison !

Continuer à avoir des projets, se sentir utile, se faire plaisir, savourer les réussites et les bons moments a des effets très positifs pour l’esprit. Enfin, être motivé est très bénéfique pour la santé en général et pour la mémoire en particulier.

Et non, c’est vrai !

Continuer à avoir des projets, se sentir utile, se faire plaisir, savourer les réussites et les bons moments a des effets très positifs pour l’esprit. Enfin, être motivé est très bénéfique pour la santé en général et pour la mémoire en particulier.

Bravo, vous avez raison !

Les souvenirs que nous avons des événements vécus sont liés aux émotions que nous ressentons durant ces moments. Si un instant de vie nous rend heureux, angoissé, euphorique, triste ou en colère, nous nous en souviendrons mieux que si c’est un moment sans émotion qui ne fait que passer. Lorsque nous sommes émotionnellement impliqués, notre attention est captée, ce qui permet à notre cerveau de mieux mémoriser cet instant. Ce sont les émotions qui permettent de faire émerger les souvenirs de la mémoire et qui les consolident plus ou moins durablement.

Et non, c’est faux !

Les souvenirs que nous avons des événements vécus sont liés aux émotions que nous ressentons durant ces moments. Si un instant de vie nous rend heureux, angoissé, euphorique, triste ou en colère, nous nous en souviendrons mieux que si c’est un moment sans émotion qui ne fait que passer. Lorsque nous sommes émotionnellement impliqués, notre attention est captée, ce qui permet à notre cerveau de mieux mémoriser cet instant. Ce sont les émotions qui permettent de faire émerger les souvenirs de la mémoire et qui les consolident plus ou moins durablement.